C'est là,
une épine qui se plonge
avec ses mains
de cire.
C'est là,
un morceau de parole
tué
sans crier
avec un voyage
de plastique
sans images.
C'est là,
un ange tombé
qui mache
encore
ses doigts disparus.
Parce que le jour
coule
avec ses machines
de regardes en synthése
et j'ai blessé le temps
contretemps
en dépouillant lévres
dejà consommées
par silences qui crachent
sans me toucher,
sans me piquer,
sans me parler.
sans crier
avec un voyage
de plastique
sans images.
C'est là,
un ange tombé
qui mache
encore
ses doigts disparus.
Parce que le jour
coule
avec ses machines
de regardes en synthése
et j'ai blessé le temps
contretemps
en dépouillant lévres
dejà consommées
par silences qui crachent
sans me toucher,
sans me piquer,
sans me parler.